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Deux semaines avec les féministes de Threads : analyse comportementale et mécanique de diffamation

Analyse détaillée du comportement militant féministe sur les réseaux sociaux

Introduction

Threads devait être un espace d'échange d'idées. En pratique, il est devenu un laboratoire parfait pour observer le comportement militant féministe.

En deux semaines d'interactions directes, les mêmes procédés reviennent sans cesse :

  • incapacité à débattre sur le fond,
  • insultes systématiques,
  • posture morale creuse,
  • contradictions flagrantes,
  • invention de sources,
  • dépendance totale à l'adversaire,
  • recours à l'accusation de viol comme arme ultime,
  • et désormais, harcèlement collectif, signalements de masse et menaces de cyberattaques.

Ce dossier propose une analyse détaillée de ces comportements, avec citations et captures à l'appui.

Chapitre 1 : L'évitement du réel

Face à une question simple, la réaction féministe est l'esquive.

Exemple sondage (La Confrérie)

"Pourquoi les femmes sont moins attirées par des hommes émotionnellement faibles ? Vous confirmez mesdames ?"

Réponses :

  • squelettejoseph : "Tu viens de sortir le slogan de Mitterrand, tes trucs incels personne ne te prend au sérieux."
  • geist_der_panzer : "Tin c'est dingue toute l'es connerie que tu débites…"

Pas une seule réponse sur le fond.

Exemple statistique (La Confrérie)

"Plus de 99 % des hommes n'ont commis aucune agression en 2024."

Réponse :

  • clitorine_la.marque : "Clean de quoi ? Tu veux une médaille ?"

Le réel est trop inconfortable → on détourne, on ridiculise.

Chapitre 2 : L'insulte comme réflexe

Quand les faits dérangent, l'injure prend le relais.

clitorine_la.marque :

  • "connard"
  • "Tu veux une médaille ?"

angry_ackerman999 :

  • "Sous-doué"

purple.shug :

  • "Les hommes qui se plaignent c'est des ouin-ouin."

L'agressivité verbale remplace la démonstration.

Chapitre 3 : La projection et l'inversion accusatoire

Mécanisme constant : reprocher à l'autre ce qu'elles pratiquent elles-mêmes.

Sébastien Loïc Fontanière :

"Derrière ta pseudo-rigueur, il y a juste un ego fragile."

→ tout en incarnant lui-même l'ego fragile.

ally_b.a.ba :

"Si tu étais aussi investi dans les droits des hommes, tu…"

→ tout en évitant soigneusement les sujets où les hommes sont défavorisés.

Chapitre 4 : La manipulation intellectuelle et juridique

Certains vont jusqu'à inventer des lois.

jsuipadakor :

"Raté, c'est un viol par pression insistante et le "oui" n'est pas valable aux yeux de la loi."

❌ Faux : aucune jurisprudence française ne qualifie un consentement donné après insistance de viol. La loi exige contrainte, violence, menace ou surprise. L'« insistance » seule n'est jamais citée.

Chapitre 5 : Le patriarcat imaginaire

Clitorine_la.marque en est l'archétype :

  • Accidents du travail ? Patriarcat.
  • Guerres ? Patriarcat.
  • Inceste ? Patriarcat.

Tout problème devient la preuve d'un patriarcat invisible. Ce n'est plus une analyse, c'est un dogme.

Chapitre 6 : Le vernis moraliste et professoral

Quand l'insulte ne suffit pas, place à la leçon.

verofleurdeschamps :

  • "Apprends à lire."

ally_b.a.ba :

  • "Sors, respire, vit."

Sébastien Loïc Fontanière :

  • "Tu crois débattre mais ce n'est qu'une posture. Moi je cherche la vérité."

Pas d'argument, seulement une supériorité proclamée.

Chapitre 7 : La dépendance à l'adversaire

Leur identité repose sur la contradiction.

Fontanière :

"Je déteste ton discours mais parfois tu sembles intelligent."

Clitorine : surgit systématiquement pour insulter.

purple.shug : n'existe que pour « répondre » aux masculinistes.

Des identités réactives, jamais créatives.

Chapitre 8 : L'accusation de viol, arme de diffamation

Comment ça démarre

Tu dénonces les sondages biaisés :

"Avez-vous déjà insisté pour avoir une relation alors qu'elle n'en avait pas envie ?"

En droit, ce n'est pas un viol si la personne finit par consentir. Mais les féministes classent ça en « agression sexuelle » pour gonfler artificiellement les chiffres.

La réaction en meute

  • lacestjulesenfait : "FINIT par consentir = viol. Imagine je te braque…"
  • marion_cpard : "Personne pour justifier le viol ?"
  • souffle.braise : "Apologie du viol, factuellement."
  • jsuipadakor : "Raté, c'est un viol… potentiel violeur en puissance."
  • sartorielecxa : "Forcer le consentement = LITTÉRALEMENT un viol."
  • Sébastien Loïc Fontanière : "C'est un viol. Craquer n'est pas consentir."

Tous emploient la même arme : te transformer en « violeur » par amalgame.

La voix lucide (rare)

benoit_coach_deter :

"Traiter de violeur n'est pas anodin. Diffamation publique ça commence à 12 000€."

Chapitre 9 : Du militantisme au harcèlement organisé

Ce qui frappe, ce n'est pas seulement la diffamation, mais la volonté d'intimidation coordonnée.

  • Appels au signalement : « Signalé Pharos », « signalez ces étrons ».
  • Raids organisés : « ça serait bien que les commentaires lui fassent fermer le clapet ».
  • Plans explicites : « Après on peut DDoS son site… en 5 minutes on le désactive. »
  • Objectif assumé : « Lui faire perdre son temps. »

On n'est plus dans le débat, mais dans l'organisation du harcèlement numérique.

Conclusion

En deux semaines, un schéma implacable s'impose :

  • éviter les faits,
  • insulter,
  • projeter ses propres travers,
  • inventer des lois,
  • se réfugier dans le patriarcat imaginaire,
  • se draper dans la morale,
  • exister uniquement par l'adversaire,
  • accuser de viol pour salir,
  • et désormais, recourir aux raids, aux signalements et aux menaces de hacking.

Ce n'est pas un mouvement d'émancipation, c'est une machine de réaction, de diffamation et de harcèlement collectif.

Un féminisme hystérisé, incohérent et dogmatique, qui ne survit pas par ses idées, mais par sa capacité à salir, intimider et organiser la meute.

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