Introduction
Le féminisme aime répéter que "les hommes ne servent à rien", ou que le monde se porterait mieux sans eux. Mais la réalité est implacable : ce sont les hommes qui maintiennent les infrastructures vitales de nos sociétés.
Routes, transports, centrales électriques, réseaux, collecte des déchets, livraisons, agriculture, sécurité… tout ce qui permet aux féministes de tweeter leur haine repose sur des métiers exercés massivement par des hommes.
Retirez-les, et en quelques jours, la civilisation moderne s'effondre.
I. Les infrastructures tenues par les hommes
- Énergie : plus de 90 % des employés dans les centrales nucléaires, gaz, pétrole sont des hommes (EDF, IEA).
- Transports : routiers, pilotes, mécaniciens, cheminots → métiers massivement masculins.
- BTP et routes : 88 % des ouvriers du bâtiment sont des hommes (INSEE, 2022).
- Collecte des déchets : 96 % d'hommes parmi les éboueurs (DARES).
Sans eux : plus de lumière, plus d'eau, plus de circulation, plus de ville.
II. La logistique quotidienne
- Livreurs, chauffeurs poids lourds, dockers : approvisionnement dépendant des hommes.
- Agriculture : élevage, grandes cultures → filières très masculines.
- Maintenance technique : électricité, plomberie, informatique → métiers désertés par les femmes.
Sans ces tâches invisibles mais vitales, la société s'arrête net.
III. La sécurité et la protection
- Pompiers : 83 % d'hommes (Ministère de l'Intérieur).
- Police et gendarmerie : environ 70 % d'hommes.
- Armée : 76 % d'hommes (armée française, 2023).
Sans eux, plus de défense, plus de secours, plus de protection.
IV. Un monde sans hommes, réalité ou fantasme ?
Les féministes et misandres aiment rêver d'un monde "sans patriarcat" où les femmes s'auto-suffiraient. La réalité :
- plus de transports,
- plus d'électricité,
- plus de réseaux,
- plus de sécurité,
- plus d'agriculture intensive.
En quelques semaines, un tel monde régresserait à l'âge des cavernes.
Conclusion
Le confort dont jouissent les féministes pour répandre leur discours anti-hommes existe uniquement parce que des millions d'hommes travaillent chaque jour dans l'ombre.
Ce n'est pas un fantasme masculiniste mais une réalité statistique : l'immense majorité des métiers qui garantissent la survie matérielle sont tenus par des hommes.
Un monde sans hommes ? Pas un paradis. Une panne générale.